vendredi
Nuit électrique
Envie de nuits électriques, de soirées passées à parler de nous, de tout, du rien et du néant aussi. Envie de minuits colorés de rires et d'angoisses apaisées, de fins de nuits somnolentes, dans les senteurs de mégots écrasés. Envie de petits matins à marcher sur la passerelle, notre passerelle, pieds nus, sur le bois, au-dessus de l'eau, au-dessus du sang de Paris.
lundi
Sous les projos
Nous y voilà, on y est…
And now ? Maintenant que tout le monde nous voie vivre, on essaie de ne pas choquer, on mime des enfants sages pour faire plaisir à tout le monde ?
Ou on se la joue nature, blue Cerises à fond les manettes ? Moi, de toute façon, je sais pas mentir. Enfin... pas trop.
Alors, on y va ? Jusqu'à l'infini, et au-delà ! (c'est surtout l'au-delà qui m'intéresse, bien sûr… mdr).
And now ? Maintenant que tout le monde nous voie vivre, on essaie de ne pas choquer, on mime des enfants sages pour faire plaisir à tout le monde ?
Ou on se la joue nature, blue Cerises à fond les manettes ? Moi, de toute façon, je sais pas mentir. Enfin... pas trop.
Alors, on y va ? Jusqu'à l'infini, et au-delà ! (c'est surtout l'au-delà qui m'intéresse, bien sûr… mdr).
mardi
Sakura
dimanche
Météores
Oui, je sais. Moi, je l'aime. Et j'aime l'entendre parler aussi, avec cet accent, le même que celui de Concepción, et celui aussi du tió Ernesto. Parfois, quand je téléphone à Ernesto au fond de ses Corbières, ma voix dérape elle aussi, et prend des langueurs entre Espagne et Occitanie.
Alors entendre Olivia Ruiz, ça me fait craquer.
Alors entendre Olivia Ruiz, ça me fait craquer.
The Path
jeudi
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