samedi

Je craaaaaaaaaaaaaaaaque !


Pour les voir, les entendre, cliquer ici
Vraiment, sont trop... ce batteur, si fun, et le bassiste, ahhhhhhhhh. Enfin... et cette voix, tu devrais kiffer aussi, Zik. Ça te rappelle rien ? Ils jouent à l'Élysée Montmartre. Faut y aller !

Hugh

lundi

No pasaran !

Cette histoire d'Ernesto tourne dans ma tête. J'ai cherché des trucs sur le net, des photos, et ce chant, que ma grand-mère chantait peut-être en étendant le linge des bonnes sœurs dans la cour, le chant des Brigades internationales…
La Despedida
Si la bala me da, si mi vida se va, bajadme, callados a la tierra.
Las palabras dejad, es inutil hablar, ningun héroe es el caido.
De tiempos futuros sera forjador, ansiaba la paz, no la guerra.
Si la bala me da, si mi vida se va, bajadme, callados a la tierra.
L'adieu
Si la balle me frappe, si ma vie s'en va, descendez-moi, silencieux à la terre.
Laissez les mots, inutile de parler, celui qui est tombé n'est pas un héros.
Il forge des temps futurs, il désirait la paix, pas la guerre.
Si la balle me frappe, si ma vie s'en va, descendez-moi, silencieux à la terre.
C'est une drôle de balle qui a frappé Concepción, une drôle de mort qui a frappé la famille.
Personne n'en a parlé, tous ont laissé les mots au fond, tout au fond des mémoires, avec le silence pour linceul.
Marina Ginestá, 17 ans, sur le toit d'un hôtel à Barcelone. Elle pourrait être ma grand-mère…
©EFE/Photo Hans Gutmann

Nuit rouge


Quand Amos me prend en photo, c'est comme s'il avait le flou en lui, hi hi. Un concert d'enfer, entre blues et irréel, voix de damné et jouage intense, les oreilles grandes ouvertes sur les chorus lancés au cœur de la nuit. Dommage, Zik et Satya. La prochaine fois que Maison Klaus rejoue, vous venez, hein ?

vendredi

Vertiges

Là, je plane… Ce doit être ça, le vertige métaphysique.

lundi

Beauté pure



(Photo Elsa Ruiz)

Je suis tombée sur une photo, un choc. C'est lui, Zik ? Et ben non, c'est pas lui. En même temps, un air de cet autre, croisé sur les routes des Corbières... Il a en lui ton histoire, Amos, et la profondeur d'Indiana, Satya. Un peu comme une fulgurance à lui tout seul de nos vacances d'octobre à nous quatre.
J'ai voulu en savoir plus, je suis en train de dévorer ses textes. Trop fort, trop beau.

Les Columbus Circle

Un vrai coup de cœur : deux filles, une blonde une brune ; tu vois, Zik, ça pourrait être nous. Sauf que moi je chante comme trois canards perdus sur une montagne russe et que toi, la guitare, c'est pas ta tasse de vodka. Et elles ont treize quatorze ans ! Non mais vous imaginez ça ? À l'âge où nous on se bacquait dans des cours d'eau tumultueux, cet été où Olivia... bref, à cet âge-là, ben elles, tranquilles, elles composent, elles écrivent, elles jouent, elles chantent, papa les filme dans le rues de Paris et c'est beau... Pfeu... sont trop douées ! j'aime.