La DespedidaC'est une drôle de balle qui a frappé Concepción, une drôle de mort qui a frappé la famille.
Si la bala me da, si mi vida se va, bajadme, callados a la tierra.
Las palabras dejad, es inutil hablar, ningun héroe es el caido.
De tiempos futuros sera forjador, ansiaba la paz, no la guerra.
Si la bala me da, si mi vida se va, bajadme, callados a la tierra.
L'adieu
Si la balle me frappe, si ma vie s'en va, descendez-moi, silencieux à la terre.
Laissez les mots, inutile de parler, celui qui est tombé n'est pas un héros.
Il forge des temps futurs, il désirait la paix, pas la guerre.
Si la balle me frappe, si ma vie s'en va, descendez-moi, silencieux à la terre.
Personne n'en a parlé, tous ont laissé les mots au fond, tout au fond des mémoires, avec le silence pour linceul.
Marina Ginestá, 17 ans, sur le toit d'un hôtel à Barcelone. Elle pourrait être ma grand-mère…
©EFE/Photo Hans Gutmann
Tu vois, Vio, quand je vois des photos comme celle là, ça me donne presque envie d'écrire des histoires pour faire (re)vivre ces personnes. Et vivre ainsi à leurs côtés...
RépondreSupprimerMoi tout pareil... En plus, elle ressemble à une fille que je connais, une qui tord des fils de fer et en fait des dessins, puis tu entres dans ses dessins, boum, l'histoire (l'Histoire ?) au coeur. Une certaine CC, non pas celle des robes et du Nº5, l'autre, celle qui vit dans les cafés ;-)
RépondreSupprimerGreat read thannks
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