mercredi

Happy new… Pour la music, cliquer ici.

Un réveillon… Il est le printemps, il est l'hiver.
Je ne savais pas que ça allait être comme ça.
Les Cerises, et moi.
Les Cerises, sans moi.
Chez Gwendoline, les murs sont pâles, le jardin grand, et les meuble cachés sous des draps trop blancs.
La musique. Daft Punk, Gossip et de vieux morceaux qui labourent les ventre et les sens.
Griffes du temps.
Nouvel an.
Je savais bien que les réveillons, ça craignait. Mais je savais pas que j'allais prendre si cher.
Et ce con de Manu qui n'était pas là.
Un frère, ça devrait toujours être là, ça sert à ça, non ?
J'ai le cœur à la renverse. Pocahontas croise Robin des Bois, le samouraï pas virtuel me nargue, un toréador à l'abandon au creux d'une diva… Mais qu'est-ce que je fous là ?
Happy new year ?
Happy new year, les amis…
Et musique, pour fêter ça !

dimanche

Une ville aux maisons de pierre

Il existe, pas très loin de Paris, une ville, pas très grande, très jolie. Des maisons comme dans les contes, aux murs de pierre, aux toits couleur châtaigne. Il y en a même une où Henri IV aurait dormi, vous imaginez ça, une énorme maison trop belle qui a vu dormir un roi d'autrefois. Heu… combien de siècles, Henri IV ? Je ne sais plus. Là bas vivent des filles et des garçons comme moi, comme nous, les blue Cerises. Ils lisent notre histoire. Ils se posent des questions, sur toi, Amos, sur tes choix, sur moi, comment j'ai pu tomber amoureuse de ce Constant… sur Olivia. Des tas de questions. Des filles craquent sur toi, Amos, ben si, faudra t'y faire. Et Satya… Ah, Satya. Zik, toi, ils te trouvent rock, suis sûre que pas mal d'entre eux auraient voulu venir à ce satané concert, ou te suivre sur les toits.
Yeap, vous, là-bas… les blue Cerises vous saluent !

vendredi

Comment va la douleur…

Certains soirs, on se dit que le mal ne cessera pas, jamais. On passe la nuit à lire la lune, captive dans un œil mort ; on froisse ses draps à réfléchir à la théorie du panda, pour aboutir à la solution de l'esquimau. On cauchemarde. Puis on se réveille, à la recherche du chemin de sable. On est des naufragés du mois d'août en plein hiver, des enfants de la nuit. On s'accroche à la ligne de mots. À ces romans, qu'on aime. À tes mots, à tes romans. Et tu nous laisserais, là, trop près du bord ? Parti dans le Grand Loin. Trop loin. Viens, je soufflerai à ton oreille de poète les trois notes de musique que murmure la nuit à l'heure où le voile se déchire.